Anorexie et boulimie

L’anorexie correspond à une perte d’appétit, empêchant le patient de se nourrir. Si celle-ci devient chronique, elle peut devenir mortelle, par manque de nutriments dans le corps. Elle peut être un symptôme dans une maladie plus grave, comme le cancer, ou d’origine mentale. Dans ce cas, il s’agit d’un trouble psychique dans lequel le patient refuse de se nourrir pendant une très longue période.

L’anorexie, conséquence d’une maladie

De nombreuses maladies, même bénignes, s’accompagnent d’un manque d’appétit. Le patient n’a pas envie de s’alimenter. Parfois, dans le cas de cancers par exemple, l’anorexie dure longtemps. Si le malade ne mange pas, alors son état va en se dégradant. Malaises hypoglycémiques d’abord, d’autres symptômes apparaissent progressivement, comme l’absence de règles chez la femme, mais aussi la décalcification des os fragilisant le squelette, voire la chute des dents.

L’anorexie mentale, un trouble psychique

L’anorexie mentale est un trouble du comportement alimentaire. Frappant plutôt les milieux sociaux aisés et principalement les femmes à l’adolescence, elle est associée à une surestimation de certaines données morphologiques, comme le poids ou la silhouette.

La personne malade décide donc d’arrêter de se nourrir, ou du moins de manger de toutes petites quantités insuffisantes pour son métabolisme. Les kilos disparaissent, les carences grandissent. L’anorexie mentale peut, à terme, tuer si elle n’est pas prise en charge, le patient ne se voyant pas maigrir et insistant dans ses restrictions caloriques.

La boulimie est un trouble du comportement alimentaire qui consiste à ingérer hors des repas et au moins 2 fois par semaine des quantités massives de nourriture dans un temps très court (en moins de 2 heures) : les médecins parlent d’hyperphagie.

Elle vise des aliments plutôt riches en calories (2000 à 5000 kcal) ou bourratifs (pain, pâtes…). Il n’y a pas de faim préalable, ni de rassasiement ou plaisir. L’ingurgitation se fait de manière compulsive (irrépressible). Plusieurs crises sont possibles dans une même journée.

Une fois sur deux, la boulimie alterne avec l’anorexie. Nombre d’anorexiques souffrent à un moment ou à un autre de boulimie.

Il est bien sur impératif de garder son médecin traitant et de lui signaler votre intention de consulter aussi un veritable magnetiseur guerisseur et que vous le teniez au courant afin qu’ils puisse contrôler l’évolution de la maladie.